Margot ma tortue

Ma Margot ma copine

j'y suis trés attachée on s'entend bien toutes les deux 

elle sait quand j'arrive sur son terrain derrière la maison elle a son espace a elle.

Dés qu'elle entend mes pas elle arrive vers moi en courant oui oui en courant lol 

elle est gourmande et se laisse caresser le dessus de sa tête très facilement elle tend son cou un max.

J'aime a la regarder.

Ma petite créa "margot et le melon"

pour le fun lol

Bernos Beaulac 33

Une jolie après midi le long du Ciron 
il a fait trés chaud aujourd'hui alors nous avons décidé de préférer les sous bois et le cours d'eau si beau qu'est le Ciron prés de Bazas un bien joli site le Ciron par endroit il est fougueux et par d'autres plus calme .
J'ai eu un petit regret c'est de ne pas avoir avec moi mes petits fils je les voyais déja faire trempette j'ai pensé a tous les gamins autrefois qui devaient venir s'y baigner la plage pour eux était a mille lieux de la vie qu'ils avaient dans cette jolie campagne et je me suis dis cette chance qu'ils avaient ces gamins d'avoir leur Ciron si beau si limpide.

Le Ciron tire son origine du latin Sirio ou Sirione.
Au Moyen Âge, il se jetait dans la Garonne plus au nord ; au niveau de Cérons^[2] auquel il a donné son nom qui est Siron en gascon.

Le Ciron naît à l'extrémité est des Landes de Gascogne, juste au nord de l’extrémité des cônes de déjection de l'érosion de la partie occidentale de la chaîne des Pyrénées.
Il creuse les plateaux en formant les « gorges du Ciron » de Préchac à Villandraut, puis se jette dans la Garonne à Barsac, en aval de Langon.
La longueur de son cours est de 96,9 km^[1]. Sa pente est de 1,8 % en moyenne et seulement de 1 % en fin de parcours. En période de hautes-eaux son débit dépasse les 10 voire 12 mètres cubes à la seconde (m3/s). Son bassin versant couvre 1 311 km².

une ancienne fonderie
La fonderie de Beaulac, créée en 1838 par Etienne Gaulin, considérablement développée par la famille Darquey, devient une des plus importantes unités du sud-ouest. 

une eau toute fougueuse une petite plage de sable fin

mon mari le pêcheur

un autre coté de la fonderie

c'est beau c'est reposant

une eau limpide superbe

on se hasarde en voiture dans la campagne de Bernos Beaulac et on découvre le belvédère je suis curieuse donc je trouve un escalier naturel j'y grimpe et olala superbe une ancienne route un pont qui surplombe le Ciron trop beau on est haut

il y a une belle hauteur la rivière est tout en bas

la route coupée et protégée

un escalier et rampes trés nature c'est joli

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Le Judo

Noam mon petit judoka

 

  FINALE TROPHÉE DÉPARTEMENTAL BENJAMINS / BENJAMINES
2005 - 2006
 COUPE JEUNE ARBITRES ET CS MINIMES
2003 -2004     MAI / DIMANCHE 14     LORMONT / DOJO FÉDÉRAL     8H30/9H00 : FÉMININES
11H00/11H30 : MASC. -26 kg à -38kg     
13H45/14H15 : MASC. – 42 kg à + 66 kg

Le Judo, une inspiration de la nature

En observant les branches chargées de neige et voyant les plus grosses casser sous le poids de l’agresseur naturel et les plus souples s’en débarrasser en pliant, un moine japonais fit le constat suivant : le souple peut vaincre le fort. S’inspirant de cette observation et des techniques de combat des samouraïs, Jigoro KANO posa en 1882 les principes fondateurs d’une nouvelle discipline : le Judo, littéralement « voie de la souplesse ».
En proposant un développement physique, moral et spirituel, le Judo permet aux judokas de s’épanouir en harmonie avec eux-mêmes et surtout avec les autres. En France, le judo apparaît dans les années trente, mais il se développe surtout après la deuxième guerre mondiale sous l’impulsion de Maître KAWAISHI et de Paul BONET-MAURY, président-fondateur de la Fédération Française de Judo en décembre 1946.

Noam relit sa convocation 

bon on a fait la pesée donc catégorie + de 26 kilos

comme tu es beau mon petit judoka

 Grande concentration avant le combat 

 

Noam et son Papa  

Teddy Riner le grand champion

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